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LE COACHING PSYCHO-EMOTIONNEL

LE COACHING PSYCHO-EMOTIONNEL,  C’EST QUOI ? 

 

Le coaching psycho-émotionnel a pour objectif, d’aider les personnes à mieux gérer leurs émotions et à améliorer leur bien être psychologique. C’est l’art de développer la connaissance de soi, afin de gommer les freins (peurs) qui nous entravent, et optimiser l'accomplissement de ses propres objectifs. En vous offrant des ressources, et des outils pratiques, des petits exercices pour développer la conscience de vos émotions, apprendre à les réguler, et à les exprimer de manière saine. En résumé, apprendre à vivre de manière intelligente avec ses émotions. 


Dans la vie, nous sommes traversés constamment par une multitude d’émotions. Mais la société, nos parents, enseignants, patrons ... nous apprennent qu’il est interdit d’y succomber et qu’il est obligatoire de tout maîtriser et de ne rien laisser transparaître. « Ne pleure pas », « Ne sois pas triste », « N’aie pas peur », « Non, tu n’as pas mal » ... 
Depuis le plus jeune âge, nous devons être polis, gentils, obéissants, forts en toutes circonstances. Néanmoins, nous ressentons des sentiments agréables ou désagréables et ce, malgré notre « cerveau rationnel » qui nous demande de nous maitriser et nous indique comment « il faut faire ». 

 

Heureusement, un nouveau courant psychologique donne la permission aux émotions d’exister : cela s’appelle l’intelligence émotionnelle


A partir de là, on considère que les émotions sont légitimes et logiques mais surtout qu’elles sont d’une grande utilité dans nos vies. Nous pouvons même les utiliser pour en faire une force au lieu de les subir. L’important est de les identifier, tout en les laissant passer, mais surtout de comprendre le message qu’elles véhiculent. 


Le coaching personnel sert à comprendre à quoi servent ces émotions, comment les repérer dans notre corps, apprendre à les accueillir et les gérer sans pour autant les laisser nous submerger et diriger notre vie. 

mains tenant

UTILISER SON INTELLIGENCE EMOTIONNELLE 

 

L’intelligence émotionnelle, en opposition à l’intelligence rationnelle, c’est un ensemble de compétences subtiles que l’on peut apprendre grâce aux outils du coaching. Notamment écouter, comprendre et réguler nos propres émotions. 

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  • Identifier notre vrai problème.

  • Communiquer de manière efficace et avec empathie.

  • Gérer les conflits et les angoisses. 

  • Impacter et inspirer l’autre (et soi-même)…

 

Ces compétences sont importantes aujourd’hui, mais elles deviendront vitales demain. « Car dans un monde où l’IA peut (et va) remplacer bon nombre de nos compétences techniques, la seule façon de rester dans la course, c’est de miser sur son capital humain ». Et c’est pour ça qu’il est indispensable d’apprendre à maîtriser les outils du coaching dès aujourd’hui. Car c’est une façon efficace de développer une palette de compétences, qui non seulement nous démarquent des robots, mais nous ouvrent également une multitude de portes dans tous les domaines. L’intelligence émotionnelle c’est l’intelligence du coeur et du corps, l’intelligence des émotions avant le dressage par l’éducation. C’est l’intelligence de l’âme qui guide dans la recherche de notre bonheur.

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LES RELATIONS TOXIQUES

 

Nous sommes nombreux à nous faire du mal en entretenant des relations toxiques qui portent préjudice à notre bien-être psychologique. Une relation toxique, c’est cette personne néfaste qu'on ne parvient pas à quitter, c’est cette amitié destructrice à laquelle on ne peut se résoudre à mettre un terme, c’est cette relation malsaine qui refait surface à chaque période où l’on est un peu moins bien dans notre vie, un peu plus fragile. Au fond, on se persuade que nous méritons cette relation, qui en réalité nous nuit davantage qu'elle ne nous apporte. Et nous permettons à cette relation d’avoir une grande influence sur nous. Le coaching possède les outils pour repérer une relation toxique et ne plus la subir. 

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RÉUSSITE ET CONFIANCE EN SOI

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Vous vous êtes déjà demandé pourquoi certains échouent dans la vie et d’autres réussissent ? La peur d’être jugé ? La procrastination ? Le perfectionnisme ? Le manque de motivation ? Peut-être bien un peu de tout ça en réalité…

 

Mais ce ne sont que des conséquences d’une seule et même cause : le manque de confiance en soi. Il est le véritable frein à la réalisation de nos rêves. Ce satané manque de confiance en soi qui nous ronge, nous bloque, nous fait remettre au lendemain ce que nous pourrions commencer aujourd’hui même… et nous fait dire un jour ou l’autre qu’on a raté notre vie.

 

Les auteurs de livres sur le développement personnel disent : il faut reprendre confiance en vous ! Plus facile à dire qu'à faire. Les neurosciences étudient aussi la confiance en soi. Dans son livre, S'estimer et s'oublier, le psychiatre Christophe André met l'accent sur un paradoxe passionnant : pour nourrir une bonne estime de soi, il faut pouvoir… s’oublier. Non seulement être égocentrique risque de nous rendre peu sympathique, mais cela fragilise aussi l'estime de soi, qui est un pilier de notre bonheur. Le coaching aide aux cours des séances à (re)trouver la confiance et l’estime de soi.

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NARCISSISME: LE DANGER DE L’EGOISME

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Pendant des siècles, l'individu a été soumis aux règles collectives (religion, État, éducation…), entraînant retrait, inhibition, idées noires parfois et manque d'estime de soi. «Dès les années 80, on voit apparaître les revendications d’auto-promotion : -“Je le vaux bien”- “J'y ai droit”- qui deviennent autant de mantras de notre société de consommation. La mode qui insiste sur la nécessité de s'écouter, de se chouchouter fait son apparition. Sauf qu'avec le temps, on est passé d'un extrême à l'autre. Au point de voir flamber une « épidémie de narcissisme. » TikTok et Instagram ont contribué évidemment à cela. Nous devons supporter maintenant des individus qui ne pensent qu'à eux. « À tous ces gens qui ne s'intéressent qu'à eux, j'ai envie de dire : votre égoïsme vous fragilise ! ». Les études sur l'estime de soi mettent en évidence le nécessaire lien à l’autre. On l'avait oublié ? Ceux qui bénéficient d'une bonne estime d'eux-mêmes s'ouvrent généralement au monde, contrairement aux autocentrés. Le “moi je” est un marqueur très net d'une profonde insécurité et d'une fausse bonne estime de soi. Et, dans un même temps, cette ouverture aux autres va nourrir l'estime de soi. C’est un cercle vertueux. En parallèle il faut se dégager du regard de l'autre. « Ceux qui cherchent l'admiration de l'autre sont comme des esclaves qui auraient des millions de maîtres ».

- Christophe  André ( Psych.)

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GENTIL ET FERME

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Pour nourrir bonheur et succès, mieux vaut être considéré comme sympa et cool que brillant. Une étude a prouvé que les individus jugés « très forts » perdaient devant un exercice difficile leurs moyens, contrairement aux autres. Sous pression, les «sympas» s'en sortent mieux, car leur socle est plus solide. Résultat : « Mieux vaut valoriser chez son enfant ses compétences relationnelles plutôt que son intelligence». Second paradoxe : l'admiration de «plus grand que soi » est aussi bénéfique à notre estime de soi. « Devant un tableau de maître, un travail d'un de nos collègues, nous rétrécissons notre ego… Mais nous nous grandissons dans un même mouvement. Toutes les formes de transcendance qui nous procurent gratitude ou joie boostent notre estime de soi. ». « La grâce est de s’oublier ». Attention, admiration ne signifie pas… emprise, ou comparaison. La comparaison nourrit la mésestime de soi. « Championnes » en la matière, les femmes, hélas, vivent encore trop souvent dans ce rapport compétitif avec les autres. Les études montrent qu'à partir de l'adolescence elles doutent beaucoup plus d'elles-mêmes que leurs alter egos. 


En conclusion: L’idéal serait d'être un “gentil qui sait dire non”. Gentil et ferme à la fois, avoir un fort lien à l'autre, tout en sachant poser ses propres limites. Et ça, c'est l'idéal pour l’ego.

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LA SOLITUDE : Le mal du siècle

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« Tout le monde peut vivre une sorte de sentiment de solitude ponctuel. Mais quand il s’installe, plus d’un mois ou deux, cela peut être inquiétant car ça signifie qu’on s’est déconnecté des autres, et l'on subit cette déconnexion ».

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La solitude rampante alimentée par les réseaux sociaux, phénomène de société qui frappe souvent les plus précaires (les chômeurs, les personnes âgées les plus fragiles, retraités, personnes confrontées à la perte d’un proche…). La solitude a pu croître ces dernières décennies en se nourrissant de l’évolution des modes de vie, de la dissolution des lieux traditionnels de sociabilité et de l’éclatement des structures familiales. Auparavant, les différentes générations vivaient ensemble géographiquement. Ces 40 dernières années on a assisté à une atomisation de la structure familiale classique. L’émergence du numérique et le boom des réseaux sociaux se sont traduits paradoxalement par un délitement du lien social. Nous n’avons jamais eu autant de connaissances grâce au numérique, et paradoxalement, autant de personnes qui se sentent seules. L’hyperconnexion aux écrans ne remplace pas les liens sociaux. 


Si les seniors peuvent utiliser la vie numérique comme outil pour créer du lien social cela ne remplace pas le concret. En revanche, la solitude affective et émotionnelle nous fait sentir « une espèce de décalage, de différentiel émotionnel par rapport aux autres. Cela peut être le cas par exemple après une rupture amoureuse, ou dans le cas d’un deuil. Cela peut aussi être une solitude liée au fait qu’on n’a pas rencontré l’amour ». Il s’agit de la forme de solitude la plus prégnante chez le senior. La solitude sociale se caractérise par un « manque d’interactions avec ses pairs, avec sa communauté de référence ». Cette fragilité relationnelle qui conduit à l’isolement social (l’insuffisance de relations sociales) se manifeste par le tarissement des réseaux de sociabilité (amis, voisins, famille, collègues ou milieu associatif…). Le sentiment de solitude peut aussi germer  lorsque l’on ressent "une sorte de déconnexion avec les autres, on se sent alors atypique. Il s’agit d’une forme de solitude émotionnelle. 


Le sentiment de solitude peut se nourrir de la difficulté à ressentir ses émotions. Cette sorte d’anesthésie émotionnelle se retrouve dans la dépression. On peut se sentir seul même en étant en couple, ou au sein d’un groupe. Dans ce cas, la personne a du mal à avoir cette connexion avec l’autre et à soi-même. L’absence de stimulation physique mentale et intellectuelle peut donner un sentiment de solitude. On peut le voir, dans le milieu professionnel, avec des situations de  « burn out », où les personnes se sentent inutiles et ne se sentent plus stimulées. Cette routine, ce sentiment d’ennui au travail, et cette perte d’intérêt peuvent engendrer une forme de lassitude, une perte d’élan vital et occasionner des troubles psychosomatiques (maux de ventre, maux de dos, blocages physiques), ou encore des phobies, des anxiétés ou des attaques de panique.

 

Cette forme de solitude pousse à se poser des questions spirituelles, amène à des carrefours existentiels où l'on s’interroge sur le sens de sa vie. On peut ressentir l’imminence de faire quelque chose. On peut observer ce sentiment à l’adolescence ou en cas de maladie qui provoque "cet arrêt sur images", propice à se remettre en question, créant parfois un sursaut, en donnant de nouvelles directions à l’existence (changement de métier, de lieu de vie…). Si cette solitude a un versant positif, elle peut aussi être à double-tranchant. Ces questionnements peuvent se manifester d’un point de vue physique ou psychique : on peut à la fois être dans une recherche de sens, mais aussi nourrir une angoisse, un sentiment de vide intérieur. Cette quête de signification constante où l'on voudrait que tout fasse sens peut générer une fuite des idées à risque de dépression et de détresse. Cette forme de solitude amène à des carrefours existentiels où on s’interroge sur le sens de sa vie. Se fait ressentir l’imminence de faire quelque chose. On peut observer ce sentiment à l’adolescence ou en cas de maladie, qui provoque "cet arrêt sur images", propice à se remettre en question. Cela peut créer un sursaut, en donnant de nouvelles directions à l’existence (changement de métier, de maison).

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Indépendamment de la forme qu’elle revêt, la solitude demeure une source de souffrance qui nécessite une prise en charge adaptée. Différentes solutions existent pour remonter la pente. De relancer les liens sociaux. Il est possible de combler ce sentiment de solitude en participant à des activités qui permettent d’échanger et de nouer du lien social, tels que les activités associatives, sportives ou le bénévolat. 


Des approches holistiques comme le yoga, la méditation et l’hypnose peuvent aider, en participant au bien-être global. Quels signes évocateurs de la solitude doivent alerter et inciter à trouver du soutien : dès que l’on commence à se poser trop de questions, que l’on se sent seul, que l’on a besoin des autres mais que l’on n’arrive pas à organiser son agenda, c’est qu’on est déjà bien isolé. Ils  sont accompagnés de symptômes anxieux, dépressifs, phobiques, ou encore un ralentissement physique et une perte de motivation. 

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Le coaching psycho-émotionnel vous permet de trouver des solutions à ces challenges pour retrouver une vie épanouie et riche. N'attendez plus pour prendre rendez-vous dès maintenant !

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